Bruno De 
   Après la France et l’Allemagne, la Belgique va à son tour interdire les thérapies de conversion, qui visent à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre des lesbiennes, gays, bi, trans, queers ou personnes intersexes. Le texte devrait être adopté par le Parlement d’ici à la fin de l’année. Ces thérapies sont encore en pratique dans 70 pays. Elles vont de la psychothérapie, aux électrochocs, aux coups et au viol correctif. La fédération d’ONG ILGA a d’ailleurs indiqué que la Belgique était le troisième pays européen assurant la meilleure défense des droits des LGBTI, derrière Malte et le Danemark.
Après la France et l’Allemagne, la Belgique va à son tour interdire les thérapies de conversion, qui visent à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre des lesbiennes, gays, bi, trans, queers ou personnes intersexes. Le texte devrait être adopté par le Parlement d’ici à la fin de l’année. Ces thérapies sont encore en pratique dans 70 pays. Elles vont de la psychothérapie, aux électrochocs, aux coups et au viol correctif. La fédération d’ONG ILGA a d’ailleurs indiqué que la Belgique était le troisième pays européen assurant la meilleure défense des droits des LGBTI, derrière Malte et le Danemark.