
De nombreux.ses élu.es, personnalités et associations ont envoyé une lettre collective demandant au préfet de mettre fin à une discrimination flagrante. En effet, depuis 2010, iels sont exclu.e.s de la gerbe commune déposée lors de la cérémonie d’hommage aux déportés de la Seconde Guerre Mondiale, même si iels peuvent déposer leur propre gerbe, mais à part. Pourquoi ?
Selon la présidente de l’antenne locale de l’Association des Déportés, Internés, Résistants et Patriotes (déclaration de 2010) : « l’ADIRP comprend des déportés, internés et résistants vivants alors que les homosexuels ne sont représentés que par leurs amis. Et par nature, ces personnes ne se reproduisent pas. Ils n’ont pas de famille ». Pour rappel, 50 000 homosexuel.les ont été condamnés pendant cette période, dont 5 à 15 000 déportés.

Bears & Cie lance les Bears games. Pas de lancer de poids ni de concours d’arrachage de poils avec les dents, ici, on se trouve plutôt dans les jeux de société et le buffet campagnard pour tenir le coup ! La prochaine édition se déroulera au Nosig (centre LGBTIA+ de Nantes). 
Le gouvernement thaïlandais a annoncé un investissement de 145 millions de bahts (4,3 millions de dollars) pour fournir une thérapie hormonale aux personnes transgenres, marquant une avancée significative dans la reconnaissance de leurs droits. Ce geste s'inscrit dans un contexte où la Thaïlande, reconnue pour son ouverture envers la communauté LGBT, a récemment légalisé le mariage entre personnes de même sexe. Cependant, les défis demeurent. En l'absence d'une procédure légale de reconnaissance de genre, de nombreuses personnes transgenres se voient contraintes de porter des documents qui ne reflètent pas leur identité.
Les lieux queer et alternatifs se multiplient dans la capitale, tant mieux, d’autant que les événements proposés alternent la mixité choisie et non choisie, car il paraît paradoxal de prôner l’inclusion en excluant… Drag king & queen shows, marché de créateurs queers, mini bibliothèque queer, expos, débats féministes, on peut aussi s’y détendre en sirotant un cocktail.
Les temps sombres pour la communauté LGBT+ s'intensifient. Le média indépendant, Meduza, classé comme « extrémiste » et réfugié à
Le créateur de mode Simon Porte Jacquemus était invité sur le plateau de C à vous. Il en a profité pour répondre aux attaques sur sa récente paternité. Voici ce qu’il a déclaré : « le post pour annoncer la naissance de mes jumeaux était politique. J’avais envie de montrer ces deux mains, car je suis en couple, marié et papa. Je suis quelqu’un qui réalise ses rêves, et je prendrai toujours la parole contre l’homophobie ». Acte militant, visibilité assumée, le chouchou de la fashion française use de sa notoriété pour revendiquer le droit au bonheur !
Le mercredi 15 janvier 2025, le Président de la République a nommé Mathias Ott Délégué interministériel à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH), succédant à Olivier Klein.
La junte militaire du Mali, dirigée par le colonel Assimi Goïta, a promulgué une loi criminalisant l’homosexualité, désormais qualifiée d’« attentat à la pudeur ». Entrée en vigueur le 13 décembre 2024, cette législation impose jusqu'à 7 ans de prison et une amende de 500 000 francs CFA, dans un pays où le revenu annuel moyen est de 870 USD. La loi cible également tout acte ou propos pouvant être interprété comme une promotion de l’homosexualité, ouvrant la voie à des abus et à une stigmatisation accrue des personnes LGBTQ+. 
Le Conseil d'État a rendu, le 27 janvier 2025, une décision marquante sur le changement de prénom et de genre à l'état civil, en réponse à des recours d'associations et de particuliers. Bien qu'il ait rejeté leurs demandes, la haute juridiction a amorcé un cadre juridique plus inclusif pour les personnes transgenres, intersexes et non binaires. 
La police métropolitaine de Jakarta a mené une opération controversée samedi 1
Dans le cadre du budget participatif de la ville, les habitants ont choisi ce projet, porté notamment par l’association Fiertés Colorées. L’œuvre devra évoquer la mémoire LGBT+ de manière formelle ou allégorique, en incluant toutes les identités de cette communauté. Elle doit être exempte de toute connotation sexuelle explicite.