Thèmatiques
Articles | Brèves
  • Donald Trump a déclenché une nouvelle polémique en partageant sur Truth Social un article accompagné d’une image troublante : un triangle rose barré d’un panneau rouge de prohibition. Ce symbole, utilisé par les nazis pour identifier et persécuter les homosexuels dans les camps de concentration, est largement reconnu comme un marqueur de discrimination anti-LGBTQ+. L’image illustrait un article du Washington Times intitulé « les publicités de recrutement de l’armée ont un aspect bien différent sous Trump », laissant entendre une rupture avec les politiques d’inclusion mises en place auparavant. Une publication qui soulève de vives inquiétudes quant aux messages véhiculés par l’ex-président et son entourage.

    Jean Jacob
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  • Mi drag queen, mi sorcier hidalgo, l’artiste nous embarque dans un univers queer, éblouissant et sexy, pourtant en lien avec l’héritage musical hispanique. Il en résulte un moment hors du temps, un concert qui ne ressemble à aucun autre, entre la réalité d’une musique acoustique (guitares et percussions) et la bulle des musiques électroniques. Un ovni sensuel. Le 1er avril à 20h.

    lacigale.fr/artiste/rodrigo-cuevas

    Bruno De
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  • Bienvenue à Bubble Planet. La Villette accueille à partir du 27 mars une expérience inédite. Plongez dans un monde fascinant, où les bulles prennent des dimensions fantastiques, promet d’éveiller l’imagination et de raviver l'âme d’enfant de chacun.

    Dans cet univers sphérique, les visiteurs sont invités à sauter d'un espace immersif à un autre, découvrant des paysages enchanteurs et des installations spectaculaires. Dès l'entrée, des ballons géants et d’immenses bulles de savon se présentent, offrant un avant-goût de cette aventure sensorielle unique. Chaque recoin de Bubble Planet est conçu pour stimuler les cinq sens, transformant la réalité en un spectacle magique. Grâce à des technologies de réalité virtuelle, les participants peuvent explorer des salles thématiques, toutes plus étonnantes les unes que les autres. L’un des moments forts de cette expérience est la simulation de vol en montgolfière, qui offre une vue imprenable sur cette planète étrange et merveilleuse.

    Les visiteurs flotteront au-dessus de paysages fantastiques, découvrant la beauté de cet univers tout en vivant une expérience hyperréaliste. Un feu d’artifices sensoriel où couleurs, décors et d’illusions sans fin !

    Infos et billetterie ici.

    Julien Claudé-Pénégry
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  • Mutation à la péniche Nix Nox. Depuis le 6 mars 2025, le lieu accueille Pisiboat, un nouveau club techno prometteur sur la Seine, entre Austerlitz et Gare de Lyon. Avec un dancefloor de 250 m2 dans la cale de la péniche et une terrasse à double palier, l'établissement se démarque par ses horaires étendus.

    L'équipe de Pisica, à l'origine de ce projet, veut créer un endroit où la fête ne finisse jamais. Pisiboat s'inscrit dans la lignée des clubs emblématiques parisiens comme Concrete et le Batofar, promettant une expérience inoubliable. Les soirées se déroulent du jeudi au samedi de 23h à 6h, avec des afters les dimanches matin de 6h30 à 14h.

    Les tarifs, entre 12 et 18€, ainsi que des cocktails à partir de 9€, sont jugés « très honnêtes » par les futurs clubbers. Le premier week-end accueillera des artistes de renom, notamment la DJ berlinoise Caniche. A découvrir de toute urgence ! 

    Julien Claudé-Pénégry
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  • Début février, Trump a signé un « executive order » interdisant aux athlètes transgenres de participer aux compétitions sportives féminines aux États-Unis. Intitulé « keeping men out of women’s sports » (« garder les hommes hors des sports féminins »), ce décret s’appuie sur le Title IX, une loi fédérale adoptée en 1972 pour interdire les discriminations basées sur le genre dans le sport scolaire.

    En détournant cette loi, Trump impose désormais le sexe assigné à la naissance comme seule référence, excluant ainsi les femmes transgenres des compétitions féminines. L’ONG Amnesty International a critiqué la décision d’interdire aux personnes transgenres de rejoindre les équipes féminines, la qualifiant de « nouvelle attaque cruelle contre la communauté trans ». 

    Jean Jacob
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  • Une étude de l’Université de Genève (UNIGE) révèle que notre perception de l’homosexualité est influencée par notre genre et nos croyances religieuses, apprend-on dans le quotidien 20 minutes. Les chercheurs ont examiné comment des données scientifiques sur les facteurs biologiques de l’orientation sexuelle sont interprétées par un panel de 300 volontaires, composé d’hommes et de femmes, croyants et non-croyants. Les résultats sont significatifs. Les hommes non-croyants voient leur perception positive de l’homosexualité se renforcer.

    En revanche, chez les femmes, cette perception reste stable. Pour les croyants, surtout les hommes, les données renforcent des avis négatifs préexistants, tandis que celles-ci n’affectent pas les femmes croyantes. Juan M. Falomir-Pichastor, professeur à l'UNIGE, explique que cette dynamique est liée au besoin de différenciation des hommes hétérosexuels. Pour les croyants, ces recherches sont perçues comme des preuves d’anomalie, alors que les non-croyants y voient une affirmation de la diversité sexuelle. 

    Julien Claudé-Pénégry
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  • Le concours ultime où le talent, le charisme et l’extravagance s’affrontent sous les projecteurs reprend cette année. Drag king, queen, queer et toute autre forme d’expression drag sont recherchées pour enflammer la scène. Les sélections iront du 29 mars jusqu’à la finale prévue le 23 mai, en présence d’une Guest de Drag Race France.

    Contact et inscription : concoursdrag.arenedesfiertes@gmail.com

    Bruno De
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  • Le député travailliste Kevin McKenna a bravement annoncé qu'il vit avec le VIH, lors d'un débat à la Chambre des communes à l'occasion de la Semaine nationale de dépistage du VIH, débutée le 10 février. Son témoignage vise à briser la stigmatisation attachée à ce virus. McKenna, élu de Sittingbourne et Sheppey, a évoqué son parcours personnel et professionnel, mentionnant que la crise du sida l'avait poussé à devenir infirmier. Il a rassuré ceux qui hésitent à se faire tester, affirmant que « vous ne transmettrez pas cette maladie lorsque vous êtes traité » et que vivre avec le VIH aujourd'hui est « banal ». Richard Angell, directeur général de la Terrence Higgins Trust, a salué cette initiative comme un pas décisif pour réduire la stigmatisation, rappelant que le VIH est gérable grâce aux traitements modernes.

    Julien Claudé-Pénégry
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  • Enfévrier, Dreamworks a levé le voile sur les premières images tant attendues de Shrek 5, prévu pour fin 2026. Ce nouvel opus mettra en scène le célèbre couple d’ogres, Shrek et Fiona, avec une fille adolescente, dont la voix sera assurée par la talentueuse Zendaya.

    Toutefois, un détail a retenu l’attention d’Internet : les yeux marrons de l’adolescente, alors que Félicia, l’une des enfants de Shrek et Fiona, avait les yeux bleus dans les précédents films. Cette divergence a suscité trois hypothèses qui excitent la toile : un changement de personnage, des lentilles, ou une éventuelle transformation de genre pour l’un des fils, Fergus ou Farkle. Internet penche largement pour cette dernière option, alimentant un débat sur les questions de genre.

    Depuis ses débuts, la saga Shrek a toujours joué avec les codes du genre. Des personnages comme la tenancière de la taverne, femme trans, et la Marraine la bonne fée, figure féministe, témoignent de cette volonté d'inclusivité. Les films explorent des thématiques d’acceptation de soi, défiant les normes sociétales. Alors que certains pourraient crier au « woke », il est important de rappeler que Shrek, par essence, a toujours été avant-gardiste. Quoi qu’il en soit, la saga continue d’évoluer, et les fans attendent avec impatience de découvrir cette nouvelle facette des aventures des ogres. 

    Julien Claudé-Pénégry
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  • Auckland a été le théâtre d'une interruption choquante lors de la parade Rainbow, célébrant la communauté LGBT+, le 15 février. Des membres de la Destiny Church, dirigée par « l'apôtre » Brian Tamaki, ont perturbé l'événement en exécutant un haka, une danse traditionnelle maorie, créant une atmosphère tendue. Cette action controversée a suscité des réactions vives, allant jusqu'à provoquer une intervention du Premier ministre Christopher Luxon, qui a déclaré que les manifestants avaient « franchi la ligne ».

    Plus tôt dans la journée, un événement pour enfants à la bibliothèque de Te Atatū, animé par un drag-king, a également été interrompu par des membres de l'église. Brandissant des pancartes telles que « Non à la propagande Pride », ces manifestants ont forcé leur entrée, provoquant la panique parmi les familles présentes. Une trentaine de personnes, y compris des enfants, ont dû se barricader dans une pièce, et une adolescente a été blessée. Les actions de la Destiny Church, qui prônent des valeurs conservatrices, ont été largement condamnées, incitant la police à ouvrir une enquête sur des allégations d'agression. Brian Tamaki, fier de ses « manifestants anti-woke », continue de défendre son opposition aux LGBT.

    Julien Claudé-Pénégry
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