
Le combattant de MMA Bryce Mitchell a récemment eu des propos qui ont en scotchés plus d’un, peut-être est-ce le double effet Trump/Musk qui explique ces flots d’absurdités. Dans une vidéo pour le podcast ArkanSanity, il explique qu’« Hitler était une bonne personne, en me basant sur mes propres recherches, pas sur la doctrine publique qu'on m'a imposée. Je pense qu'avant sa dérive, il était une personne avec laquelle on pourrait aller faire de la pêche. Il s'est battu pour son pays, il voulait le purifier en y extrayant les gens qui le détruisait et voulaient convertir tout le monde en gays ». Il renchérit sur les communautés LGBTQ+ : « Ils rendaient les enfants gay, les femmes devenaient queer. Vous savez ce qu'étaient les livres que Hitler brûlait à ses débuts ? Des livres queer ! Hitler brûlait les livres queer car il ne voulait pas d'une population qui ne pouvait pas lui donner des enfants » comme l’expose CNN.
Dana White, l’actuel président de l'UFC, a dénoncé ces propos comme étant « au-delà du dégoût », mais a précisé qu'aucune sanction ne serait prise, invoquant la liberté d'expression. « Hitler est responsable de la mort de 6 millions de Juifs », a-t-il rappelé. Face à la controverse, Mitchell a tenté de se distancier de ses commentaires, affirmant qu'il n'était « définitivement pas un nazi » et reconnaissant le mal causé par Hitler. Le mal est fait !

Il n’a que 21 ans lorsqu’il apprend qu’il est séropositif au VIH. De cette annonce, Nicolas Aragona ne se laisse pas engloutir par le désarroi, il en fait un atout. Il crée en 2021 l’association Superséro et investit les réseaux sociaux avec un rendez-vous destiné à tous ceux et celles qui vivent la même situation que lui et à tous ceux séronégatifs qui ont des craintes, des aprioris sur les personnes vivant avec le VIH. Il y dispense de l’aide, des informations, des coups de gueule souvent. De cette expérience, il en écrit un livre intitulé le Dico des Superséros aux éditions Améthyste qui vient juste de sortir en librairie. Loin d’être un recueil qui relate son parcours, il préfère en faire un guide qui sous forme d’abécédaire, explique tout ce qui a attrait à la vie de « tous.tes les courageux.ses vivant avec le VIH ; ces Superséros du quotidien et leurs allié.es. » Il aborde sans tabou les turpitudes qui accablent leur vie, il revient sur des termes qui sonnent et qui font mal comme « clean », « sidaïque »…, il parle de ces gestes et mots qui construisent la sérophobie, il parle de prévention, de drogues, de réduction des risques, d’IST, d’observance, de traitements. 
La soirée queer par excellence se déplace hors les murs du Klub, son établissement attitré. Vendredi 21 février, on se retrouve à la Cité Fertile de Pantin (19h30-1h30) avec de la pop un peu pouf, des drag hôtesses, de quoi manger, de quoi boire, de quoi jouer. Et en plus, l’entrée de cette ancienne friche SNCF est gratuite alors on se looke années 90-2000, un petit tour dans une friperie pour trouver de quoi…
Heddy, militant de l'association SOS homophobie et administrateur du Centre LGBTQIA+ Côte d’Azur, a été victime d'une violente agression homophobe à Nice.
Depuis plusieurs semaines, la disponibilité de la PrEP en pharmacie est compromise. L’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a confirmé que cette situation est due à un problème d’approvisionnement en matières premières. 
La 67
Au début des années 2000, Next a révolutionné la vie nocturne bruxelloise en proposant les premières soirées queer (au sens premier du terme) pour la communauté LGBTQIA+ et leurs amis. Tous les mois, une foule bigarrée se réunissait pour danser sur une programmation musicale chaleureuse et éclectique. Le 1
Le Coco Loko, fermé récemment, il ne restait guère de lieu communautaire dans une si grand ville, mis à part le Buster, l’A2 et le Café Pompier.
Au Théâtre de la Porte Saint Martin, la pièce Les Idoles de Christophe Honoré fait son grand retour, ravivant la mémoire d'une génération d'artistes gays disparus trop tôt à cause du sida.
Le 15 janvier 2025, le Tribunal correctionnel de Paris a condamné le blogueur Bassem Braïki et quatre autres militants d'extrême droite pour injure et incitation à la haine homophobe. Ils avaient orchestré une campagne de haine contre Bilal Hassani, contraint d'annuler un concert à Metz en raison de menaces de violence. Cette polémique avait pris racine en mars 2023, lorsque le collectif « Lorraine Catholique », soutenu par Civitas, avait dénoncé le concert comme une « profanation » comme le précise Stop Homophobie.