
 Le refuge parisien des Ours, le Bears’ Den expose jusqu’au 12 janvier 2025 Fétiche couleur, une exposition de dessins de Romain Darmon. Lors de sa précédente présentation, l’artiste s’était focalisé sur des œuvres en noir et rouge. Aujourd'hui, il utilise la couleur comme vecteur d'émotion. « Chaque teinte, qu'elle soit joyeuse ou mélancolique, souligne un désir ou une émotion souvent silencieuse », explique-t-il. Chaque nuance résonne comme un désir, une sensation, une envie. Et il les applique dans un monde où le véritable fétiche réside dans cette capacité à transmettre des émotions, rendant chaque interaction profondément significative. Le fétiche, loin d’être un sujet de jugement, est présenté comme une expérience pure et essentielle. Dans un univers où les pratiques intimes sont souvent taboues, s’engager dans les fétiches de l’autre devient un acte de confiance et un investissement émotionnel profond. Que ce soit en solo ou en groupe, chaque exploration fétichiste est une exploration, une célébration de l’intimité. La préparation, le temps et les objets utilisés renforcent cette connexion, offrant une excitation viscérale, loin de l’éphémère « plan cul ».
Le refuge parisien des Ours, le Bears’ Den expose jusqu’au 12 janvier 2025 Fétiche couleur, une exposition de dessins de Romain Darmon. Lors de sa précédente présentation, l’artiste s’était focalisé sur des œuvres en noir et rouge. Aujourd'hui, il utilise la couleur comme vecteur d'émotion. « Chaque teinte, qu'elle soit joyeuse ou mélancolique, souligne un désir ou une émotion souvent silencieuse », explique-t-il. Chaque nuance résonne comme un désir, une sensation, une envie. Et il les applique dans un monde où le véritable fétiche réside dans cette capacité à transmettre des émotions, rendant chaque interaction profondément significative. Le fétiche, loin d’être un sujet de jugement, est présenté comme une expérience pure et essentielle. Dans un univers où les pratiques intimes sont souvent taboues, s’engager dans les fétiches de l’autre devient un acte de confiance et un investissement émotionnel profond. Que ce soit en solo ou en groupe, chaque exploration fétichiste est une exploration, une célébration de l’intimité. La préparation, le temps et les objets utilisés renforcent cette connexion, offrant une excitation viscérale, loin de l’éphémère « plan cul ».

 L’association de soutien trans a annoncé son arrêt au 31 décembre 2025. Cet organisme a depuis 2014 porté des projets de santé communautaires, mais aussi des revendications de droits fondamentaux, comme l’accès aux soins et aux parcours de transition, la dépsychiatrisation. Si de bonnes âmes se sentent de reprendre le flambeau, car il reste tant à faire, qu’elles se manifestent.
L’association de soutien trans a annoncé son arrêt au 31 décembre 2025. Cet organisme a depuis 2014 porté des projets de santé communautaires, mais aussi des revendications de droits fondamentaux, comme l’accès aux soins et aux parcours de transition, la dépsychiatrisation. Si de bonnes âmes se sentent de reprendre le flambeau, car il reste tant à faire, qu’elles se manifestent.
 La cheffe de la police berlinoise, Barbara Slowik, a récemment émis une mise en garde préoccupante dans une interview au Berliner Zeitung, conseillant aux juifs portant une kippa et aux personnes homosexuelles d'être vigilants dans certaines rues de la capitale allemande. Bien qu'elle affirme qu'il n'existe pas de véritables zones interdites, elle reconnaît que des quartiers peuvent représenter un risque accru pour ces communautés.
La cheffe de la police berlinoise, Barbara Slowik, a récemment émis une mise en garde préoccupante dans une interview au Berliner Zeitung, conseillant aux juifs portant une kippa et aux personnes homosexuelles d'être vigilants dans certaines rues de la capitale allemande. Bien qu'elle affirme qu'il n'existe pas de véritables zones interdites, elle reconnaît que des quartiers peuvent représenter un risque accru pour ces communautés.






 Le centre LGBTQIA+ avait été ouvert en fanfare il y a déjà un an. Le moment est venu de faire un point sur les activités de ce lieu qui manquait à la cité phocéenne.
Le centre LGBTQIA+ avait été ouvert en fanfare il y a déjà un an. Le moment est venu de faire un point sur les activités de ce lieu qui manquait à la cité phocéenne.
 Dans le cadre du week end de soutien au Rita (du 13 au 15 décembre), une vente aux enchères est prévue le samedi 14, animée par les Soeurs du couvent des 69 Gaules.
Dans le cadre du week end de soutien au Rita (du 13 au 15 décembre), une vente aux enchères est prévue le samedi 14, animée par les Soeurs du couvent des 69 Gaules.
 L’éradication des LGBTQ+ se poursuit en Russie. Le groupe de soutien LGBTQ+ Lupta à Ekaterinbourg vient de fermer en raison de pressions croissantes contre la communauté queer dans le pays. Fondé en avril 2023, Lupta visait à fournir des services de santé mentale et un soutien juridique aux personnes LGBTQ+ victimes de discrimination. Son précédent groupe, le Centre de ressources LGBT, avait été qualifié « d'agent étranger » par les autorités, ce qui avait conduit à la création de Lupta. La décision de fermer Lupta survient dans un contexte de répression sévère, aggravé par une décision de la Cour suprême de Russie qui a criminalisé la défense des droits LGBTQ+, déclarant le « mouvement LGBT international » comme « extrémiste ». Lupta a signalé que la situation pour la communauté queer en Russie était devenue « dévastatrice » et qu'ils ne pouvaient garantir la sécurité de leurs membres. Les conséquences profondément néfastes sur la santé mentale et le bien-être des individus LGBTQ+, exacerbées par des lois telles que celle de 2013 interdisant la « propagande gay auprès des mineurs ».
L’éradication des LGBTQ+ se poursuit en Russie. Le groupe de soutien LGBTQ+ Lupta à Ekaterinbourg vient de fermer en raison de pressions croissantes contre la communauté queer dans le pays. Fondé en avril 2023, Lupta visait à fournir des services de santé mentale et un soutien juridique aux personnes LGBTQ+ victimes de discrimination. Son précédent groupe, le Centre de ressources LGBT, avait été qualifié « d'agent étranger » par les autorités, ce qui avait conduit à la création de Lupta. La décision de fermer Lupta survient dans un contexte de répression sévère, aggravé par une décision de la Cour suprême de Russie qui a criminalisé la défense des droits LGBTQ+, déclarant le « mouvement LGBT international » comme « extrémiste ». Lupta a signalé que la situation pour la communauté queer en Russie était devenue « dévastatrice » et qu'ils ne pouvaient garantir la sécurité de leurs membres. Les conséquences profondément néfastes sur la santé mentale et le bien-être des individus LGBTQ+, exacerbées par des lois telles que celle de 2013 interdisant la « propagande gay auprès des mineurs ». 
 Après une descente fracassante et brutale de la police russe dans des boîtes de nuit, plus de 50 personnes LGBT+ ont été arrêtées en une seule nuit, la Sibérie a subi le même sort. Sous couvert que le mouvement LGBT+ est depuis cette année aux yeux de la loi russe « un mouvement extrémiste terroriste », les autorités n’ont de cesse de traquer la communauté partout où elle se trouve. En visionnant les images qui circulent sur les réseaux sociaux, on assiste à des raids armés dans deux discothèques de Moscou et un bar de Chita. Les soirées ont été interrompues à l’improviste et dans une violence verbale et physique, les clients ont été mis à terre, à plat ventre au sol. La peur est palpable, l’incompréhension visible sur les visages pétrifiés de toutes ces personnes venues juste s’amuser. Mais tout ce qui est estampillé LGBT+ n’a plus le droit de cité en Russie. Cette descente policière n’est pas la première, mais c’est la première fois qu’autant d’individus sont arrêtés en une seule fois. Dans le même temps, un propriétaire d’établissement de nuit fait aussi les frais de cette répression liberticide, puisqu’il vient d’être arrêté et son entreprise fermée puisque LGBT.
Après une descente fracassante et brutale de la police russe dans des boîtes de nuit, plus de 50 personnes LGBT+ ont été arrêtées en une seule nuit, la Sibérie a subi le même sort. Sous couvert que le mouvement LGBT+ est depuis cette année aux yeux de la loi russe « un mouvement extrémiste terroriste », les autorités n’ont de cesse de traquer la communauté partout où elle se trouve. En visionnant les images qui circulent sur les réseaux sociaux, on assiste à des raids armés dans deux discothèques de Moscou et un bar de Chita. Les soirées ont été interrompues à l’improviste et dans une violence verbale et physique, les clients ont été mis à terre, à plat ventre au sol. La peur est palpable, l’incompréhension visible sur les visages pétrifiés de toutes ces personnes venues juste s’amuser. Mais tout ce qui est estampillé LGBT+ n’a plus le droit de cité en Russie. Cette descente policière n’est pas la première, mais c’est la première fois qu’autant d’individus sont arrêtés en une seule fois. Dans le même temps, un propriétaire d’établissement de nuit fait aussi les frais de cette répression liberticide, puisqu’il vient d’être arrêté et son entreprise fermée puisque LGBT.
 Le premier loto des bears de l’association LOOM aura lieu dimanche 8 décembre (14h-18h). De beaux lots à gagner, des strass, des paillettes et quelques surprises, histoire d’enjouer un dimanche frileux…
Le premier loto des bears de l’association LOOM aura lieu dimanche 8 décembre (14h-18h). De beaux lots à gagner, des strass, des paillettes et quelques surprises, histoire d’enjouer un dimanche frileux…